Protocoles
Les différents protocoles et listes que je mets à disposition sur cette page sont à effectuer après consultation, selon mes recommandations et sous ma supervision.
CURE D'ARGILE
L’argile est un trésor offert par la nature pour prendre soin de notre organisme, le purifier, l’assainir et le régénérer. Il est connu depuis l’antiquité et toujours très utilisé par certains peuples vivant en symbiose avec la nature. Les animaux aussi ingèrent de l’argile ou prennent des bains de boue pour cicatriser leurs blessures.
On trouve dans la nature des argiles de différentes couleurs et aux différentes vertus : blanche, verte, rouge, rose, jaune ou encore marron.
Pour la cure d’argile par voie interne, il faudra prendre une argile verte qui est la plus intéressante pour régénérer et réparer les muqueuse intestinales. Il faut la choisir surfine et ultra-ventilée.
L’argile a des vertus incroyables aussi bien en interne qu’en externe. Aujourd’hui je vais vous parler uniquement des vertus de la cure interne d’argile verte.
Cette cure peut se réaliser plusieurs fois par an, de préférence lors des changements de saison, à l’automne ou au printemps.
Pourquoi faire une cure d’argile ?
Cette cure est très intéressante pour calmer les excès d’acides, en cas de brûlure d’estomac ou de remontées acides par exemple, elle améliore la production des ferments pancréatiques et permet de lutter contre l’acidose.
Elle sera aussi bénéfique pour la sphère digestive car elle permet de nettoyer en douceur la muqueuse intestinale tout en lui fournissant les oligo-éléments nécessaires à sa régénération. Reminéralisante, elle pourra combler certaines carences.
Riche en silice, elle est utile aux personnes souffrant de troubles articulaires.
Le pouvoir absorbant de l’argile (jusqu’à 8 fois son poids) va permettre de retenir toutes les impuretés, les poisons et les toxines puis de les diriger vers nos émonctoires (foie, intestins, reins, poumons et peau) pour les évacuer.
Le pouvoir d’absorption et d’assainissement de l’argile est si important qu’on l’utilise dans les endroits où l’eau n’est pas potable pour purifier l’eau.
Elle sera ainsi utile pour détoxifier l’organisme mais aussi en cas de ballonnement, d’acidité gastrique, d’acidose ainsi que pour assainir le système digestif.
Elle est préconisée en cas de diarrhée, d’infection, d’anémie (elle comble les carences en minéraux), d’ulcère, de gastrite ou encore d’irritation de l’œsophage (c’est un excellent pansement des voies digestives).
Son utilisation permet de nettoyer le sang et de réparer les lésions internes. Elle a également une action antiparasitaire.
Comment procéder ?
Il est recommandé de faire cette cure sur une durée de 21 jours.
Préparez votre argile la veille au soir, laissez la reposer toute la nuit pour la boire au réveil. Si l’argile a tendance à ralentir votre transit, il est alors préférable de la préparer le matin et de la laisser reposer toute la journée pour la prendre juste avant le coucher.
Saupoudrez 1 bonne cuillère à café en bois ( pas de plastique ou de métal) d’argile dans un verre (en verre, pas de plastique ni de métal) d’eau de source peu minéralisé (type Mont-Roucous, pas d’eau du robinet). Ne la remuez pas, laissez la juste tomber au fond de verre et laissez la reposer environ 6 à 8 heures. Au bout de ce laps de temps, ne buvez que l’eau qui surnage afin de préparer votre organisme en douceur avec cette eau argileuse. Ne jetez pas le résidu qui reste au fond du verre dans votre évier, cela pourrait boucher vos canalisations, videz le dans la poubelle ou dans vos plantes vertes.
Si vous tolérez parfaitement l’eau d’argile, vous pouvez continuer en buvant le lait d’argile. Pour cela, procédez comme précédemment, mais remuez l’argile avec votre cuillère en bois juste avant de la boire afin d’ingérer l’intégralité de l’argile.
Attention : l’argile inhibe l’assimilation des médicaments (ainsi que de la pilule contraceptive), veillez à la prendre à distance de vos traitements (minimum 2h voire plus si possible).
Durant la cure, ne consommez surtout pas d’huile de parafine qui durcit l’argile. Par précaution, éviter également de manger trop gras durant cette période.
Effets indésirables
L’argile va déloger les toxiques qui se trouvent dans les tissus profond et les remettre en circulation pour les évacuer vers l’extérieur. Pensez à beaucoup boire durant la cure afin d’aider le travail d’évacuation de ces déchets ainsi que pour éviter un ralentissement du transit.
Si la constipation survient malgré tout, surtout ne la laissez pas s’installer et arrêtez la cure. Pour la prévenir, prenez l’argile le soir au coucher, buvez uniquement l’eau d’argile en laissant le dépôt au fond du verre, optez pour une alimentation riche en fruits et légumes et pensez aux pruneaux réhydratés pour votre petit déjeuner ou encore aux tisanes laxatives…
L’argile est très puissante, parfois un peu trop et peu causer quelques réactions, témoignant du nettoyage profond de l’organisme. Ces réactions s’estomperont au bout de quelques jours mais si elles deviennent gênantes, espacez les prises d’argile ou arrêtez la cure. Ces réactions peuvent être l’évacuation de vers intestinaux, des troubles cutanés, des diarrhées ou de la constipation.
Cure Antiparasitaire aux plantes du Dr Clark
Bénéfices du nettoyage antiparasitaire Clark : Le Dr Clark n’a pas fait d’inventaire des parasites touchés par sa cure, mais en dénombre une centaine dans ses tests. Voici une liste des parasites retirés par cette cure, les plus souvent rapportés dans ses livres.
Veuillez noter que la localisation d’un parasite peut le protéger partiellement contre un vermifuge. La cure antiparasitaire Clark est particulièrement efficace pour déparasiter les intestins, le foie et certains organes, ainsi que la région du cerveau.
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Fasciolopsis buski
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Fasciola hepatica
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Eurytrema pancreaticum
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Clonorchis sinensis
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Ascaris
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Tenia
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Onchocerca
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Hasstilesia tricolor
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Plasmodium malariae
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Besnoitia
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Streptococcus
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Clostridium
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Salmonella
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Shigella
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Escherichia coli
Quelques symptômes rapportés à la présence de parasites dans le corps : constipation, diarrhée, flatulences, migraines, dépression,troubles digestifs, chute de cheveux,envies de sucre,allergies mycoses, infection au candida,E.Coli etc…(Le terme « parasites » signifie ici l’ensemble des parasites porteurs de maladies comme parasites, bactéries, virus, champignons..)
Ce dont vous avez besoin :
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Teinture de noix extra forte ou lyophilisée en gélules (150mg par Gélule).
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Gélules Artémisia (200 – 300mg d’absinthe par gélule).
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Clous de girofle en gélules (500mg par gélule).
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Arginine (500mg par gélule).
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Ornithine (500mg par gélule).
Prenez la quantité recommandée dans un demi verre d’eau. Boire 20 mn avant de manger .
L’alcool de la teinture peut provoquer des vertiges pendant quelques minutes, prenez une position assise jusqu’à que les vertiges soient passés.
Vous pouvez rajouter de l’eau tiède à la teinture de noix mais surtout pas de l’eau chaude, cela pourrait détruire les principes actifs de la teinture de noix.
Il est possible de voir apparaître des nausées après avoir pris de la teinture de noix et ce après plusieurs minutes. Allez prendre l’air jusqu’à que les nausées disparaissent.
Au cours de l’année: prendre 2 cuillères à de teinture de noix noire extra-forte une fois par semaine pour un programme d’entretien. Les membres de la famille devraient prendre 2 cuillères à café toutes les deux semaines aussi.
Pourquoi attendre 5 jours pour prendre la dose maximum ? : c’est simplement pour votre bien-être. Vous avez peut-être une digestion fragile ou vous avez un à priori au sujet des effets secondaires, au 6ème jour vous remarquerez qu’il n’existe aucun effet secondaire.
Programme rapide : si vous êtes rassuré sur les effets bénéfiques après la première goutte de teinture de noix, prenez la dose maximale dès le premier jour.
(Commencez avec 2 cuillères à café pendant 6 jours puis suivre le tableau).
Programme lent : si par-contre vous avez des craintes de prendre des plantes médicinales ou si vous n’êtes pas sûr des apports bénéfiques des plantes médicinales, commencez avec des gouttes et augmentez la dose selon votre volonté, jusqu’à être rassuré de prendre la dose maximum.
Le programme le plus rapide : prenez une dose de 2 cuillères à café toutes les 5 heures, équivalent à 10 cuillères à café.
Dans le cas ou cette dose vous convient, prenez la dose de 10 cuillères à café tous les 2 jours (plus Mop Up) pendant 2 semaines supplémentaires, avant de passer au programme d’entretien hebdomadaire.
Les gélules d’Artémisia :
Prenez la dose en rapport avec le tableau. Avalez les gélules les unes après les autres en une fois. Prenez 7 gélules par semaine comme décrit dans le programme d’entretien. Essayez de ne pas arrêter le programme au 16 èmejour, après vous pourrez diminuer la dose selon votre ressenti.
Les personnes ayant un estomac fragile préfèrent ,contrairement au tableau, augmenter la dose tout doucement. Vous pouvez décider de la rapidité du traitement après le 16 ème jour.
Les femmes enceintes ou allaitantes et les enfants ne doivent pas prendre d’Artémisia.
Les gélules de clous de girofle:
La poudre de clous de girofle des commerces traditionnels ne fonctionne pas, leur principe actif est réduit à néant.
Moudre les clous de girofle ou acheter des gélules de clous de girofle. Prenez la quantité selon le tableau.
Ornithine:
Prenez 2 gélules d’Ornithine le premier soir avant de vous coucher, prenez 4 Gélules le soir suivant et 6 Gélules le 3ème soir. Ensuite prendre 4 ou 6 Gélules avant de vous coucher, jusqu’à ce que vous arriviez à dormir une nuit complète puis arrêtez le traitement, pour voir si vous arrivez à dormir sans gélules d’Ornithine. L’Ornithine est naturelle et n’a pas d’effet de dépendance.
Arginine:
L’arginine absorbe aussi l’ammoniaque, mais contrairement à l’Ornithine a un effet stimulant.
Prendre de l’Ornithine pour dormir peut avoir un effet si bénéfique que cela vous donne un plein d’énergie pour la journée, dans ce cas vous n’avez pas besoin d’Arginine.
Mais si vous arrêtez la caféine (recommandé) et que vous vous sentez faible dans la journée, prenez une gélule d’Arginine le matin au lever, une à midi et une le soir avant de manger, réduire la quantité si vous êtes facilement énervé.
Il n’existe aucune interaction entre l’Ornithine et l’Arginine avec d’autres médicaments. Il n’y a aucune raison d’arrêter les médicaments d’une prescription faite par un médecin ou un naturopathe, seulement dans le cas ou vous prenez des solvants ou des toxines.
A partir de maintenant ce n’est pas une obligation de suivre le plan à la lettre. Au contraire vous pouvez choisir 1 jour de la semaine, pour prendre le dosage de toutes les plantes médicinales dans la même journée. Continuez longtemps le programme d’entretien .
Les FODMAPS
Les FODMAPs sont des sucres naturellement présents dans certains aliments , très indigestes de par leur fermentation à l’arrivée dans le côlon, ce qui provoquerait ballonnements, maux de ventre et symptômes du syndrome de l’intestin irritable.
La liste des aliments riches en FODMAPs (à éviter) :
Pour bien comprendre l’intérêt et le mode d’emploi du régime sans FODMAPS, il suffit d’expliciter l’acronyme FODMAP. Cela permet également de dresser la liste des aliments à éviter dans le cadre de ce régime alimentaire.
F : Fermentescibles (rapidement fermentés par les bactéries du côlon)
O : Oligosaccharides (fructanes et galacto-oligosaccharides ou GOS), présents dans les pois chiches, les haricots rouges,flageolets, les lentilles…
D : Disaccharides (lactose), dans le lait, la crème, les yaourts, certains fromages…
M : Monosaccharides (fructose en excès du glucose), dans la pomme, les fruits en conserve dans leur jus, les fruits séchés, certains édulcorants, le miel…
A : And (et)
P : Polyols (sorbitol, mannitol, xylitol et maltitol), dans la pomme, l’avocat, la pêche, la poire, la prune, le pruneau, le chou-fleur, les champignons, les desserts allégés à base de lait…
La liste des aliments pauvres en FODMAPs (à privilégier) :
Fruits : banane, myrtille, canneberge (cranberry), raisin, pamplemousse, melon miel, kiwi, citron, mandarine, orange, fruit de la passion, papaye, framboise, rhubarbe, fraise. Attention : si ces mêmes fruits sont séchés, ils doivent être consommés en petites quantités.
Légumes : pousses de bambou ou cœurs de palmier, pousses de haricots, carottes, céleri, endives, gingembre, haricots vertslaitue, olives, panais, pommes de terre, potiron, poivron rouge, blettes, épinards, courge, rutabaga, patate douce, tomate, navet, igname, courgette.
Fines herbes : basilic, coriandre, citronnelle, marjolaine, menthe, origan, persil, romarin, thym.
Grains : céréales (sarrasin, amarante), pain (100 % farine d’épeautre), riz, avoine, polenta, millet, quinoa, sorgho, tapioca.
Produits laitiers : lait sans lactose, boisson de riz, soja ou amandes, fromages à pâte dure (type cheddar, gruyère, comté…), mozzarella, brie, camembert, yaourt sans lactose.
Sucres et édulcorants : saccharose, glucose, sirop de sucre roux, sirop d’érable, mélasse, édulcorants dont le nom ne se termine par « ol »(erythritol, xylitol..).
Autres : viande, poisson, oeuf, tofu, huile d’olive, sorbet (en remplacement de la crème glacée).
L'acidose
LES CAUSES DU DÉSÉQUILIBRE ACIDO-BASIQUE :
Notre organisme ingère et produit chaque jour de nombreuses substances acides ou basiques.
Les apports en acides proviennent :
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de l’alimentation, soit parce que les produits de digestion de ces aliments sont acides, soit parce que l’utilisation de ces aliments par l’organisme génère la production d’acides
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de l’organisme lui-même, car le métabolisme produit des déchets acides.
Les apports en éléments basiques se font exclusivement par ’alimentation, via la consommation de végétaux essentiellement.
Notre organisme a généralement tendance à pencher vers l’acidité, car il produit lui-même des déchets acides. L’organisme doit donc combattre un déséquilibre en permanence. Pour cela, l’organisme possède un système de régulation qui lui permet d’éliminer les déchets acides et ainsi de rétablir l’équilibre. Lorsque l’individu est en bonne santé, ce système de régulation est très performant.
On parle de rupture de l’équilibre acido-basique lorsque les systèmes de régulation sont débordés et que l’organisme ne parvient plus à éliminer les déchets acides. Il se retrouve alors dans l’obligation de les stocker dans le tissu conjonctif.
Les causes principales de la rupture de l’équilibre acido-basique sont :
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une consommation excessive d’aliments acidifiants, comme la viande, le poisson, les céréales,le sucre et les glucides (lents et rapides) les produits raffinés…,
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la sédentarité et le manque d’oxygénation, qui limitent l’efficacité des poumons et des reins, organes d’élimination, à éliminer les déchets. Les états de stress, la prise de certains médicaments (aspirine, anti-inflammatoires non-stéroïdiens...) et certaines maladies chroniques peuvent également conduire au déséquilibre acido-basique.
De nombreux problèmes de santé peuvent être la conséquence directe ou indirecte d’un excès d’acidité dans l’organisme, qu’il s’agisse d’une acidose tissulaire ou d’une acidose du sang. Rappelons que le pH sanguin doit se situer entre 7.32 et 7.42 et que toute variation vers le haut ou vers le bas aura des conséquences dramatiques pouvant aller jusqu’à la mort.
Nous comprenons maintenant pourquoi cet équilibre acido-basique est si important !
L'acidose peut favoriser :
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les maladies cardio-vasculaires,
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une augmentation possible du risque infectieux (surtout ORL)
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des allergies ou des intoxications (formes d’inflammations)
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des dysfonctions hépatiques et digestives (allergies ou inflammations)
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des douleurs musculaires, articulaires,
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des crampes ou des tensions musculaires,
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des douleurs avec inflammation (douleurs sciatiques par exemple)
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une hypofertilité par dysrégulation de l’activité de la voie hypophysaire,
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la manifestation de séquelles vicieuses post traumatiques, avec ou sans foyers réactionnels perturbateurs ou déstabilisants (anciennes lésions comme
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des cals osseux, anciennes interventions chirurgicales ou champs perturbateurs dentaires)
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des poussées inflammatoires d’arthrose
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des troubles psychologiques (agressivité, stress psychologique, émotivité ….)
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la mise en route de processus tumoraux bénins ou malins.
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une diminution des échanges cellulaires,
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une diminution de la production métabolique,
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une fatigue chronique,
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une augmentation de la « calcification » des tissus..
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des maladies inflammatoires chroniques ou dégénératives,
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de l’arthrose, des douleurs osseuses, des problèmes rhumatismaux,
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une insuffisance pancréatique ou une insulino-résistance cellulaire
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des dysfonctions cardio-vasculaires (athéroscléroses, insuffisance)
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une insuffisance veino-lymphatique (jambes lourdes, troubles circulatoires)
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des dysfonctions hépatiques et digestives (intolérances digestives, constipation, diarrhée, ou affections dégénératives)
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des dysfonctions endocriniennes ou métaboliques
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des troubles psychologiques
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la progression de processus tumoraux bénins ou malins ...
Donc si vous rencontrez des problèmes comme :
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des caries dentaires,
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de l’arthrose, de l’ostéoporose,
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des rhumatismes, de l’arthrite, de la polyarthrite
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des saignements de gencives,
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des aphtes sur les lèvres et dans la bouche,
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des fissures aux coins des lèvres,
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des renvois acides (régurgitations)
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des brûlures d’estomac,
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des ulcères,
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des calculs rénaux et vésicaux,
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des problèmes de peau (boutons, eczéma, herpès)
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des troubles circulatoires (varices, jambes lourdes)
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des rhumes d’une manière répétitive,
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des sinusites (surtout si chroniques)
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des otites,
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des bronchites,
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des maux de tête et des migraines régulières,
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des douleurs sciatiques,
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des lumbagos répétitifs,
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des crampes musculaires,
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des sensations de brûlure de l’anus (ou démangeaisons anales)
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une baisse de vos défenses naturelles,
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de la fatigue chronique
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un manque constant d’énergie,
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de la frilosité dans tout le corps et surtout aux extrémités,
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une perte anormale des cheveux,
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des cheveux fragiles, cassants,
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des ongles qui se cassent, qui se dédoublent,
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des tâches blanches sur les ongles, etc…
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un état dépressif,
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un excès anormal de nervosité,
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d’irritabilité,
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des troubles du sommeil avec fatigue importante au réveil,
etc… … il y a fort à parier que vous présentiez un terrain acidifié.
Voici donc la liste des aliments alcalins à privilégier, qu’il faudra probablement associer à des compléments naturels pour éradiquer l’acidose de façon durable :
ALIMENTS ALCALINS :
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Tous les jus de légumes crus (surtout à l’extracteur).
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Les graines germées .
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Les algues d’eau douce et marines fraîches, réhydratées, séchées (de type salade du pêcheur en boutique bio), en caviar, en poudre ou en comprimés (spiruline, klamath, chlorella).
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Les patates douces, pommes de terre (en-dehors des frites), châtaignes, courges (potiron, potimarron…), pâtisson, topinambour, manioc, igname…
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Le sarrasin ou blé noir.
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Les légumes colorés et/ou racines : les céleris, fenouils, betteraves, carottes, panais, courges, patates douces, choux rouges, etc. Exception : la tomate (surtout cuite, hors saison et mélangée aux céréales de type riz, blé, etc.).
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Les légumes verts crus ou cuits (mais pas trop): Les concombres, courgettes, toutes les sortes de salades (mâche…), haricots et choux (brocoli…), etc. Exception : les épinards cuits, l’oseille, la rhubarbe.
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Les fruits doux et cueillis à maturité : les bananes (la plus alcalinisante), pommes douces, raisins doux, mangues, papayes, pastèque, melon. Évitez les fruits acides de type agrumes, ananas…
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Parmi les aromates : toutes les herbes vertes fraîches telles que coriandre, basilic, ciboulette, persil, thym, romarin, etc.
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Parmi les boissons : les infusions de plantes, les boissons végétales (amande, noisette, riz, soja…), les jus de légumes et de fruits doux (surtout à l’extracteur de jus).
Parmi les corps gras et oléagineux :
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Les amandes sans la peau et noix de Brésil (encore mieux : trempées 12h). Pour les autres fruits secs (noisettes…), réhydratez-les avant de les consommer.
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Les olives noires natures ou à l’huile d’olive.
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L’avocat.
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Les huiles extra-vierges ou vierges, de première pression à froid et biologiques
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Parmi les fruits séchés : les bananes, raisins, dattes, figues et abricot doux. La plupart des fruits séchés sont alcalinisants s’ils sont réhydratés au moins 4 heures, l’idéal étant de les faire tremper, la veille, dans un verre d’eau.
ALIMENTS ACIDES :
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Tous les produits laitiers : lait UHT, crème fraîche, fromages à pâte dure, fromage fermentés, yaourt, beurre. Tolérance : laitages au lait cru, fromage frais.
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Toutes les protéines animales en général :
Les viandes rouges (bœuf, mouton, cheval, porc), la charcuterie, les abats (foie, rognon, cervelle),les extraits de viande de type « maggi ». Tolérance : les viandes blanches : poulet, dinde, lapin, veau, agneau.
Les poissons gras (saumon, hareng, thon, carpe), les fruits de mer. Tolérance : les poissons maigres (cabillaud, bar, merlan, sole, truite), les huîtres.
Les œufs : préférez-les de qualité biologique et peu cuits (œufs à la coque ou mollets).
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Parmi les sucres (glucides): Tous les sucres sont acides y compris le miel, sauf le sirop d'agave.
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Tous les graisses animales (peaux des animaux, saindoux, suif…).
Les huiles végétales hydrogénées, raffinées, transformées, durcies (margarine). Choisissez des huiles végétales de qualité extra-vierges ou vierges, de 1ère pression à froid et biologiques. -
Toutes les sauces et produits industriels (mayonnaise, biscuits, pâtisseries, viennoiseries).
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Certains oléagineux plus acidifiants que d’autres : les noix sèches, pistaches, noisettes, cacahuètes, noix de pécan, pépins de courge, graines de tournesol et les olives vertes… Préférez : les pignons de pin, sésame, noix de (coco, cajou),les amandes sans la peau, noix du Brésil et olives noires à l’huile ou nature.
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Parmi les fruits :
Les fruits pas mûrs (moins ils sont mûrs et plus ils sont acides).
Les agrumes en général pour les personnes frileuses (pamplemousse, orange, citron…), encore plus quand mangés le matin et hors saison.
Tous les fruits au goût acide (et leur jus) : ananas, fruit de la passion, kiwis, baies (groseilles framboises, cassis…), certaines variétés de pommes (granny smith…), de cerises (griottes), d’abricots (même séchés), de prunes…
Les jus de fruits du commerce, le jus de citron (ok si quelques gouttes dans une tasse d’eau chaude). Préférez les jus de fruits 100% fruits.
Certains fruits séchés : les abricots acides. Tolérance : pruneaux, figues. Pour baisser leur acidité faites les tremper 4 heures ou toute une nuit et jetez l’eau de trempage.
Parmi les légumes : la tomate (surtout cuite et hors saison), l’oseille, les épinards cuits, la rhubarbe, la choucroute…
Parmi les condiments : le vinaigre, les légumes conservés au vinaigre, le ketchup, la moutarde, les pickles, les câpres… Pour la vinaigrette, préférer le jus de citron, moins acidifiant que le vinaigre.
Parmi les boissons : tous les sodas, café, eau du robinet, thé noir, les alcools (alcools forts, vin blanc, champagne…).
Tous les plats préparés, les boites de conserves.
Pour certaines personnes qui ne digèrent pas les légumes soufrés : artichaut, asperge, bette, choux, cresson, poireaux, navets, oignons, ail…
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Autres facteurs acidifiants :
Le tabac, les médicaments (aspirine, pilule, les anti-inflammatoires, vitamines synthétiques), la déshydratation, le surmenage physique et psychique, le travail nocturne, le manque de sommeil, les contractures chroniques de stress, la sédentarité (insuffisance respiratoire, manque de transpiration…), le froid, l’insuffisance hépatique (drogues, alcool, tabac, médicaments, hépatites…), l’insuffisance rénale (manque d’eau pure, médicaments, stress…).
La digestion commence dans la bouche, avec la salive : pH neutre 7 à 8.
La digestion des féculents et hydrates de carbone se fait en milieu basique (pH 7 à 9), celle des protéines dans un milieu très acide (2 à 4).
On voit donc que l’association hydrates de carbone / protéine (pates / viande) n’est pas idéale.
Le lait et les fromages sont très acidifiants et très incompatibles avec le pain.
Citron, vinaigre, tomate et vin sont incompatibles avec les féculents mais compatibles avec les protéines…
La consommation quotidienne de viande est un excès regrettable, favorable au dépôt d’acide urique dans les articulations.
Un cocktail quotidien de viande + produits laitiers devient explosif au fil des années.
Les fruits, aliments essentiels, peuvent devenir dangereux consommés en mauvaise association. Ils doivent toujours être consommés loin des repas, JAMAIS pendant un repas, ni en fin de repas (totalement incompatible).
Une association très répandue mais particulièrement désastreuse pour les enfants chez qui elle provoque des désordres ORL importants (otites, rhinites, bronchites, bronchiolites, angines) : un repas de féculents (riz ou purée par exemple) et un yaourt sucré en dessert. Le mélange féculent / yaourt est incompatible, et le mélange féculent / sucre est également incompatible.
Cela donne une double incompatibilité majeure, et des problèmes ORL fréquents ….
Solutions et clés de santé anti-acidité :
Un bon moyen de désacidifier votre organisme est de faire une cure détox afin de neutraliser l’excès d’acidité de votre corps et de réguler « l’acidose ». Elle consiste entre autre à stopper tous les aliments acides et acidifiants et apporter une grande quantité d’aliments alcalins. Il sera ensuite beaucoup plus facile de modifier votre alimentation sur le long terme.
Quelques conseils généraux pour les terrains acidifiés :
Boire par jour au minimum 1,5 L d’une eau peu minéralisée (de type Rosée de la Reine, Montcalm, Mont Roucous).
Pratiquer un exercice physique modéré telle que la marche au minimum 30 minutes par jour, s’oxygéner (dans la nature) ou/et pratiquer les techniques respiratoires en utilisant des huiles essentielles.
Favoriser les aliments alcalinisants, les monodiètes (il s’agit de manger un seul type d’aliment au repas) de courgettes, courges, carottes, légumes verts.
Evitez au maximum les aliments acides ou producteurs d’acides encore plus le matin et l’hiver.
Faites la part belle aux légumes (qui doivent représenter minimum 50% de votre assiette ou encore mieux 70%),
et aux fruits de saison que vous prendrez soin de consommer hors repas (30 minutes avant ou 2 heures après) si vous êtes frileux. En effet, leur temps de digestion étant différent des autres aliments, ils peuvent fermenter et créer beaucoup d’acidité chez certaines personnes à la digestion plus difficile.
Le Jeûne
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Nettoyage de printemps
Au printemps, dans la nature, la sève monte dans les arbres pour nourrir les fleurs. C’est le renouvellement. Jeûner est une manière idéale pour l’homme de se nettoyer avant de fleurir à nouveau.
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Qu’en disent nos amis chinois ?
En médecine énergétique chinoise, les saisons ont une influence différente sur chacun des organes. Le printemps correspond au foie et aux fonctions qu’il régule. Or, le foie est un organe très impliqué dans le jeûne. Le printemps est la saison idéale pour le pratiquer.
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Le système immunitaire fait son ménage
Jeûner trois jours régénère complètement le système immunitaire et offre un véritable regain de vitalité. Les facultés d’autolyse des cellules immunitaires augmentent et les globules blancs se dirigent vers les tissus dégénérés pour y faire le ménage.
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La nuit, tous en jeûne !
Lorsque l’on dîne tôt le soir et que l’on retarde l’heure de son petit-déjeuner, on allonge cette période de jeûne naturel qu’est la nuit, pour le plus grand bénéfice de notre corps.
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Se nourrir autrement
Lorsque l’on jeûne, ce ne sont plus protéines, glucides ou autres lipides qui nourrissent nos cellules mais respiration, pensées, musique, créativité et prières. Alain Saury disait « tout est nourriture ». Au cours d’un jeûne, il s’agit d’apprendre à transmuter, à passer d’une nourriture à l’autre.
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Le jeûne sous tous ses angles
Il existe différents types de jeûne : le jeûne hydrique avec de l’eau pure, le jeûne sec (ni eau ni aliments), le jeûne long à visée thérapeutique ou spirituelle, ou encore le jeûne intermittent, remarquable pour la perte de poids.
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Jeûne et transformation
Après un jeûne, au moment de la ré-alimentation, il est tout à fait possible de discerner les aliments bénéfiques et ceux qui ne le sont pas. Sentir, non pas par nez, mais par le biais de l’intuition, exacerbée lors d’un jeûne. Alors, la relation à notre alimentation peut radicalement changer.
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Vive le jeûne
Le jeûne est particulièrement recommandé pour les problématiques chroniques telles que l’hypertension, l’obésité, l’excès de cholestérol, les douleurs articulaires, les problèmes ORL (bronchites, rhinites et autres sinusites), les allergies environnementales et l’asthme.
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Jeûne intermittent
Parmi les jeûnes dits courts, nous trouvons le jeûne intermittent qui consiste à dîner tôt (autour de 20 h) et à déjeuner autour de midi . La période d’alimentation de la journée ne s’étale donc que sur 8 h. Il reste 16 heures à l’organisme pour digérer, métaboliser et assimiler. Redoutable pour la perte de poids et la régulation de la glycémie.
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L’énergie de la digestion = 1/3 de l’énergie totale
Jeûner 24 heures permet un repos total du système digestif. Ne pas manger pendant une journée équivaut donc à récupérer l’énergie de la digestion et à la mettre au service de la revitalisation de l’organisme.
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Rien ne sert de courir …
Jeûner 24 ou 36 heures à la maison peut préparer le corps à vivre l’expérience d’un jeûne long plus en douceur. Aller doucement et prendre le temps de découvrir comment notre corps réagit au jeûne peut participer à amplifier ses bénéfices.
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Le jeûne hebdomadaire
Idée : un à deux jours par semaine, abstenez-vous de manger pour nettoyer l’organisme des excès quotidiens. Buvez deux à trois litres d’eau pendant cette journée et ressentez les bénéfices incroyables de ce moment de restauration.
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Jeûne et complémentation
Le jeûne s’accompagne parfois de compléments alimentaires à base de chlorophylle ou d’argile par exemple. Le jus d’herbe d’orge, puissant détoxifiant sanguin, approfondit le travail de nettoyage activé par le jeûne. L’argile, quant à elle, offre les minéraux précieux dont le corps a besoin si l’acidose provoquée par le jeûne est trop forte.
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Jeûner pour se relier
Le jeûne de 21 jours a pour vocation l’ascèse spirituelle ou la thérapeutique, au même titre que le jeûne de 40 jours. Bien sûr, les jeûnes courts peuvent aussi comporter quelque chose de religieux , si telle est l’intention de celui ou celle qui l’entreprend.
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Écouter son corps
Le retour e la véritable faim à l’issue du jeûne signifie que le corps s’est bien nettoyé et qu’il est temps de se ré-alimenter. La langue, blanchie pendant le jeûne à cause de l’élimination des toxines, récupère sa belle couleur rose, ce qui est un autre signal que le jeûne se termine.
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Mort et renaissance
On dit que jeûne et reprise alimentaire doivent être de durée égale. Le moment de ré-alimentation est capital et hautement symbolique. Si le jeûne est parfois associé à une petite mort, la reprise alimentaire est alors associée à la naissance. Ne renaît-on pas à nous-mêmes après un jeûne ?
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Ralentir, c’est vivre mieux
Le jeûne n’est pas synonyme d’inanition et le ralentissement permis lors de ce genre de cure n’est nullement propice à l’ennui. Il est nécessaire de vivre au rythme que le corps adopte lors du jeûne et de laisser les choses se calmer en nous.
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Aïe, j’ai mal à mon jeûne
Les crises curatives d’élimination occasionnées lors d’un jeûne peuvent être violentes et provoquer des symptômes tels que des maux de tête, des nausées voire des vomissements ou encore des vertiges. Il est nécessaire d’être bien accompagné et renseigné pour entreprendre une telle cure.
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Jetez brosses et balais, faites place au jeûne !
Nos cellules sont de véritables usines : elle fabriquent de l’énergie et, ce faisant, produisent des déchets. Le jeûne est un outil de nettoyage intra-cellulaire : les liquides dans lesquels baignent nos cellules se purifient et les déchets accumulés sont nettoyés.
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Ce soir, dernière représentation !
Le jeûne long peut parfois faire réapparaître les symptômes de problématiques anciennes. Généralement, ces symptômes ressurgissent afin de disparaître définitivement, comme un ultime nettoyage.
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Jeûne et sommeil
Lors d’un jeûne, les nuits sont de plus en plus courtes, l’énergie n’étant plus dépensée pour la digestion. Il est capital d’utiliser les heures de la nuit à bon escient : créativité, conversation, méditation sont les pierres angulaires qui font du jeûne un allié de la transformation intérieure.
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Reprise alimentaire après un jeûne
Après un jeûne, il convient de se réalimenter avec des fruits frais et des légumes biologiques, de saison, riches en nutriments qui vont poursuivre l’action drainante éliminatrice amorcée par le jeûne. Les excitants, les protéines et les glucides doivent patienter encore un peu au placard avant d’être réintégrés.
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Le jeûne dans l’Histoire
Moïse, Bouddha, Socrate, Platon, Jésus, Saint François d’Assise, le Prophète Mahomet, Gandhi et Mère Thérésa se sont tous adonnés à des jeûnes courts ou prolongés. Laissons-nous inspirer. Jeûner, ce n’est pas se priver mais se libérer. Jean Chopitel
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Holistique jeûne
Nous sommes convaincus que la santé est holistique, qu’elle dépend de facteurs nombreux et variés, que pour la préserver notre comportement doit être global. Le jeûne est une approche qui s’occupe de l’être humain dans sa totalité physique, émotionnelle, spirituelle, énergétique et mentale.
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Jeûne et toxémie
Nous absorbons trop de substances nocives (pollution, xénobiotiques, aliments carnés, excitants comme l’alcool, le café, le thé, le sucre, et bien d’autres) et nos fonctions d’élimination ne sont pas optimales (combien d’entres nous sont des constipés chroniques ?). Il est important une fois l’an, si la vitalité le permet, de mettre son organisme au repos par le jeûne.
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Ménager son foie
Visualisez votre éponge à la fin de votre vaisselle et maintenant voyez votre foie à la place. Le jeûne provoque une sorte « d’essorage » du foie. Il perd de son volume, au même titre que l’estomac, et nombreuses de ses fonctions (il en a plus de 500) sont régulées.
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Youpi, des cétones !
Lors d’un jeûne, les réserves de glucose s’épuisent en 24 heures. Ensuite, le destockage des graisses engendre la fabrication de corps cétogènes connus pour avoir des effets protecteurs contre les maladies dégénératives, et des effets stimulants pour le cerveau.
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Et les animaux alors ?
Ils jeûnent aussi. De nombreuses espèces s’y adonnent de manière spontanée et régulière. Chez le manchot par exemple, c’est le mâle qui couve l’oeuf et il le fait en jeûnant pendant deux mois. Le colibri, quant à lui, accepte de perdre 2 de ses 5 grammes pour entreprendre sa migration annuelle. Dans la nature, tout est possible!
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Les bénéfices du jeûne
D’après les experts, le jeûne entraîne une perte de poids, stimule le cerveau et le système immunitaire, soulage les allergies environnementales, fait baisser l’insulino-résistance et la tension artérielle, améliore la résistance des neurones aux mécanismes de dégénérescence, favorise la normalisation de la flore intestinale.Mais bien plus qu’un nettoyage physique, il est aussi un nettoyage de l’esprit qui permet d’y voir plus clair en soi et d’élever son taux vibratoire par la purification du système énergétique qui en découle.
Tentez l'expérience, je vous y accompagnerai avec grand plaisir !
Le lavement
Comment effectuer un lavement chez soi :
Le lavement permet l’évacuation des matières faciles à dissoudre situées dans le colon gauche. Un lavement permet de nettoyer 30 cm de colon (sur une longueur totale de 1m60 en moyenne). Pour éliminer les bouchons durs et anciens et nettoyer le colon en entier, il faut pratiquer une hydrothérapie du colon.
Le lavement est plus fastidieux et moins efficace que l’hydrothérapie du colon, mais c’est mieux que de ne rien faire du tout !
Le lavement : pour qui ?
Ils sont très indiqués chez les personnes qui ont beaucoup de diverticules , pour les organismes toxifiés, pour les constipations récurrentes,des douleurs diverses, ou dans le cadre d’un jeûne.
Les lavements peuvent aussi être fait chez les enfants, car on ne pratique pas d’hydrothérapie du colon sur un enfant.
Comment faire votre lavement ?
Mettre 2 litres d’eau minérale tiède (1 litre chez l’enfant) ou de l’eau bouillie du robinet dans un boc à lavement (acheté en pharmacie) et dissoudre :
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2 grosses cuillères à soupe de gros sel bien dissous ou d’huile d’olive
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ou bien 1 cuillère à soupe de gros sel + une cuillère à soupe de Chlorure de magnésium ou de sel de Nigari
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ou encore 2 tasses de café bio
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ou 2 litres d’infusion de camomille (on met une poignée, on laisse infuser 10 minutes, tiédir, filtrer avant le lavement et mettre ces 2 litres d’infusion dans le boc à lavement).
Puis s’installer tranquillement dans une pièce ou vous ne serez pas dérangé, mettre le boc à 1 mètre au dessus, bien attaché. Se coucher sur le coté droit ou à genou les fesses en l’air.
Retirer l’air du tuyau, en faisant arriver l’eau jusqu’au robinet, introduire la canule lubrifiée avec un peu de vaseline dans l’anus et ouvrir le robinet à moitié afin que l’eau entre doucement ; se masser le ventre, garder, et évacuer quand on ne peut plus résister !
Diète cétogène
A n’effectuer que sous ma supervision (ou celle d’un professionnel) car elle est à réguler selon votre métabolisme de base et vos objectifs.
Le régime cétogène repose sur une alimentation très riche en graisses (ou lipides) et très pauvre en glucides. Notre alimentation moyenne comprend aujourd’hui à peu près 50 % de glucides, 35 % de lipides et 15 % de protéines .
Dans une diète cétogène, le régime alimentaire est composé d’environ 5% de glucides, 15% de protéines et 80% de lipides ! Ses bénéfices sur la santé font l’objet de nombreuses publications.
C’est un régime qui mime les effets du jeûne et qui peut d’ailleurs être commencé juste après celui-ci.
Les glucides nous sont principalement apportés par les pâtes, le pain, les céréales (riz, blé, avoine…), les fruits ou encore le sucre de table. Ils contiennent du sucre sous différentes formes, notamment du glucose et du fructose . Le glucose provenant des glucides va être utilisé comme source d’énergie prioritaire par les muscles, le cœur et le cerveau.
Lorsque qu’il est privé de cette source d’énergie, l’organisme va actionner un mécanisme d’urgence pour s’adapter à cette privation : la cétogenèse. Notre foie va produire de petites molécules, les cétones (ou corps cétoniques), afin d’alimenter notre corps en énergie, et notamment les organes dépendants du glucose comme le cerveau. Ces cétones sont produites par le foie à partir des graisses de l’alimentation.
Le régime cétogène vise à faire fonctionner le corps essentiellement avec les graisses et les corps cétoniques. Il reproduit ainsi en partie les effets du jeûne où le corps doit s’adapter à la privation de nourriture, et donc de glucose.
Des effets bénéfiques sur la santé :
Tout d’abord, ce régime riche en graisses a prouvé ses effets sur le diabète et la perte de poids. En effet, ce régime pauvre en glucides permet de mieux réguler notre sensibilité à l’insuline. Or, chez les personnes diabétiques, la production d’insuline pour réguler le taux de sucre dans le sang est défaillante. Le régime cétogène permet de traiter le problème à la racine en limitant l’apport de glucides et donc la nécessité de production d’insuline. Comme les niveaux d’insuline diminuent, la résistance à l’insuline s’améliore. Cette meilleure gestion de la glycémie a aussi montré ses effets sur la perte de poids. Les fortes variations de glycémie entraînent une mauvaise gestion de notre appétit. En réduisant fortement les pics glycémiques, la diète cétogène permet ainsi de mieux réguler son appétit et sa perte de poids. Par ailleurs, en puisant directement son énergie dans les cellules graisseuses, cette alimentation permet de favoriser l’amincissement. .
Par ailleurs, certaines études ont montré des effets bénéfiques du régime cétogène sur la maladie d’Alzheimer. Le glucose constitue normalement la principale nourriture du cerveau (et donc des neurones). Mais, chez les personnes atteintes d’Alzheimer, le fonctionnement neuronal, et en particulier l’utilisation du glucose, est altéré. Grâce à une diète cétogène, les corps cétoniques vont alors agir comme des agents neuroprotecteurs en permettant la production d’une autre source d’énergie utilisable. Ils vont par ailleurs réduire la production de radicaux libres, des molécules qui s’attaquent à nos cellules lorsqu’elles sont présentes en excès dans notre organisme.
Ce régime pourrait également avoir des effets bénéfiques sur le cancer. Les cellules cancéreuses se nourrissent en effet essentiellement de glucose, et ont une activité d’assimilation du glucose et de production d’énergie accrue : jusqu’à 200 fois supérieure à des cellules saines. La diète cétogène pourrait contribuer à limiter la progression tumorale en limitant l’assimilation de glucose par les cellules cancéreuses, et donc leur production d’énergie.
Enfin, la diète cétogène a montré des résultats bénéfiques sur le traitement de l’épilepsie, en permettant notamment de réduire les crises convulsives de 30 à 40% chez les enfants. L’épilepsie a longtemps été traitée entre autres par le jeûne, mais ce modèle ne pouvait être supporté sur une longue période, notamment par les enfants. L’alternative que représente la diète cétogène s’est donc rapidement imposée comme moyen de traitement plus durable contre l’épilepsie. En effet, les cétones produits par l’organisme possèdent des propriétés permettant de réduire les crises d’épilepsie. Par ailleurs, le glucose pourrait augmenter l’excitabilité des cellules nerveuses lorsqu’il apporte de l’énergie même si ce dernier point n’est pas validé pour le moment. Ce régime est en revanche moins efficace pour traiter l’épilepsie chez l’adulte.
Mais alors, qu’est-ce qu’on mange ? certains préconisent de manger fromage, charcuterie etc..Les acides gras saturés dans ces aliments sont dangereux pour la santé.Je vous propose donc une diète saine qui va privilégier les acides gras insaturés (bons pour le corps) et éviter également trop d’acidité pour le corps, qui est un des risques de cette diète.
Règle n°1 : Privilégier les aliments riches en bonnes graisses :
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Les bonnes huiles : olive, colza, coco, lin,noix, etc.
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Les laitages : laits végétaux non sucrés et crèmes végétales (coco, amande,soja.. )
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La viande (blanche de préférence, le poisson(saumon, sardines et maquereaux de préférence ) et les œufs
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Les noix et graines : noix (pécan, brésil,macadamia..), noisettes, amandes, noix de cajou, pistaches,pignons de pin, graines de chia, graines de sésame,tournesol..
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Et pour remplacer les farines de céréales : farine de de coco, de noix, poudre d’amandes ou de noisettes, farine de soja (en quantité limitée ).
Règle n°2 : Restreindre sa consommation d’aliments riches en glucides :
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Le sucre et les produits sucrés (bonbons, viennoiseries, chocolats contenant moins de 85% de cacao)
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Les aliments trop transformés, type plats préparés
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Les pâtes, riz et céréales
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Le pain
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Les aliments riches en amidon (pommes de terre, patate douce, etc)
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Les légumineuses (lentilles, pois chiches, etc)
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Les sodas et jus de fruits
Règle n°3 : Maintenir sa consommation de protéines au petit-déjeuner , au déjeuner et au dîner :
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Protéines animales : viande, poisson, oeufs
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Protéines végétales : soja, amandes, noix de cajou, etc.
Règle n°4 : Choisir des légumes pauvres en glucides et limiter les fruits :
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Légumes : chou, endives, épinards, laitue, aubergine, asperge, concombre, courgette, fenouil, haricots verts, poireau, brocoli, céleri, poivron
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Fruits : les besoins en apports glucidiques varient d’un individu à l’autre. Les fruits sont exclus pour les personnes dont le seuil est faible. Pour les personnes dont le seuil est plus élevé, il est possible de consommer de petites baies (myrtilles, cassis, groseilles, framboises, fraises).
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Avant de vous lancer, ayez conscience que ce régime nécessite un changement profond et rigoureux des habitudes alimentaires ! Le régime cétogène est un régime qui nécessite d’être suivi de manière très stricte : tout écart entraîne un inconfort pendant un à deux jours.
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Que vous envisagiez ce régime à des fins thérapeutiques ou non, il est indispensable d’être encadré par un professionnel de santé au moins au début. En effet, des calculs sont nécessaires quant au besoin énergétique individuel et aux portions de glucides, lipides et protéines. Notamment, ce régime doit nécessairement être isocalorique (c’est-à-dire que la quantité de calories absorbées ne doit pas diminuer), sinon vous risquez de produire des corps cétoniques en excès. Cela peut alors provoquer l’acidification du sang (appelée acidocétose) qui peut entraîner entre autres nausées, vomissements, constipation, augmentation de la fréquence respiratoire etc. Il peut également entraîner des carences en minéraux (potassium notamment) car avec ce type d’alimentation, les reins éliminent de façon plus accélérée les minéraux. Il est donc nécessaires de vérifier régulièrement certaines constantes biologiques par des tests urinaires.
Si vous souhaitez en faire l'expérience, je peux vous y accompagner.
Le protocole de détox des métaux lourds du Dr Klinghardt
Le protocole se découpe en deux parties principales :
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Première période d’action sur le milieu extra-cellulaire pendant laquelle on utilise simplement la chlorella, puis l’ail des ours.
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Deuxième période orientée sur le nettoyage du milieu intracellulaire. On introduit alors l’extrait de coriandre qui fait sortir les métaux lourds des cellules et on fait de temps en temps des périodes de grosses prises de chlorella.
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La méthode du docteur Klinghart est la solution naturelle la plus connue. Elle est très puissante, il faut donc faire attention à ne pas déloger plus de métaux lourds que notre corps, en particulier nos intestins, peut en éliminer à la fois. A mon avis, il manque une cure antiparasitaire puis de détoxification du foie au préalable. Le Dr Clark recommandait de commencer par un (long) travail de nettoyage sur le foie et les reins. Si ces « stations d’épuration » sont saturées elles ne pourront pas éliminer correctement les métaux lourds remis en circulation dans le corps. Ils causeront alors encore plus de dégâts. C’est ce qui arrive souvent aux personnes qui expérimentent cette cure sans préparation préalable. En tant que naturopathe, il me semble indispensable de commencer par un travail de nettoyage en profondeur des émonctoires (reins, foie, intestins, peau et poumon) et de s’assurer d’un transit quotidien. D’autant qu’une intoxication aux métaux lourds tend à encombrer toutes les voies d’élimination, particulièrement le foie qui est le grand spécialiste des substances toxiques, d’où les nausées et migraines que l’on retrouve souvent comme symptômes.
Où trouver de la chlorella de qualité ?
Je recommande souvent la chlorella de flamant vert, 100% crue et biologique.
En pratique : Les produits utilisés :
Voici un exemple de cure. Toutefois, il y a souvent des ajustements a faire. D’où l’intérêt d’être accompagné au début. Attention, n’envisagez pas ce traitement si vous avez beaucoup de symptômes. La Chlorella peut les amplifier dans un premier temps (effet mobilisateur trop fort).
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Le protocole s’appuie sur la Chlorella,qui en plus de mobiliser les métaux lourds, possède des propriétés antioxydantes, stimule le système immunitaire, est à la fois anti-inflammatoire, vitalisante (la chlorophylle améliore le transport de l’oxygène), reminéralisante et favorise le fontionnement du foie. Sa membrane fibreuse cellulosique n’est pas assimilable par l’organisme, elle reste donc dans les intestins, tout en fixant les éléments toxiques dont les métaux lourds. Elle est ensuite naturellement évacuée par les intestins. Son apport en tryptophane à un effet positif sur le moral. Il importe de choisir une chlorella non polluée, mais la plupart des chlorellas commercialisées par des marques françaises connues n’ont pas ce problème, il est toutefois recommandé de toujours vérifier que l’on connaît son origine et se méfier de celles qui viennent d’Asie, notamment de Chine, réputée très laxiste en matière de sécurité sanitaire.
La première semaine (7 jours) prendre uniquement de la Chlorella : 2 comprimés de 500 mg, 3 fois par jour, matin, midi, soir (6 comprimés par jour, soit 3 g), de préférence au cours d’un repas.
Les deux semaines suivantes (14 jours), prendre 4 comprimés, 3 fois par jour (12 par jour, soit 6 g).
Toutes les deux semaines, prendre ponctuellement pendant deux jours consécutifs 10 comprimés, 3 fois par jour (soit 30 par jour, soit 15 g).
Puis revenir à 12 comprimés par jour pendant 2 semaines.
Cela fait environ 400 comprimés, soit 200 g, par mois. Il est possible de prendre de la chlorella en poudre, multiplier les quantité de comprimé par 0,500 grammes.
En cas d’amplification des symptômes, il est conseillé d’augmenter la prise jusqu’à 60 comprimés de 500 mg par jour ! La chlorella semble avoir un effet mobilisateur, sa capacité à faire bouger les métaux lourds, qui tend à plafonner. Si on en prends plus il n’y a pas plus de symptômes. Par contre son effet « éponge à métaux lourds », qui permet de les éliminer en les conservant dans les selles, est proportionnelle à la quantité absorbée. Plus on prends de chlorella, moins les métaux lourds sont recapturés dans les intestins.
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L’ail des ours sous forme d’extrait hydro-alcoolique, de teinture mère (nom latin Allium Ursinum) ou d’EPF (Extrait de Plante Fraîche) contient des composés soufrés (dessulfhydryle) qui oxydent le mercure, le cadmium et le plomb dans les parties extracellulaires (autour des cellules) les rendant solubles dans les liquides interstitiels et lymphatiques, permettant ainsi leur élimination par les émonctoires. Il contient aussi du sélénium, qui protège du stress oxydatif due aux métaux lourds. Avec la chlorella, il participe au nettoyage des métaux lourds « circulants », en permettant leur élimination par les reins et l’ensemble foie/intestin.
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Commencer après la première semaine de Chlorella par 5 gouttes 3 fois par jour 15 minutes avant les repas (ventre vide obligatoire), dans un verre d’eau ou autre (soit 15 gouttes par jour), pendant une semaine (7 jours).
Puis, chaque semaine, augmenter la dose pas prise : 3 fois 10 gouttes, puis 3 fois 15 gttes, pour arriver au rythme de croisière de 20 gouttes 3 fois par jour (soit 60 gouttes par jour).
Si vous tolérez mal l’ail des ours, redescendez à la dose d’en dessous. Compter un flacon de 50 ml pour 1 mois. Les doses données le sont pour l’EPF d’Ail des Ours de Vogel que l’on trouve facilement en magasin bio. Pour d’autres extraits, il convient d’adapter la dose avec son thérapeute. En cas de problème avec l’alcool, il est possible d’utiliser des extraits secs.
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La coriandre sous forme d’extrait hydro-alcoolique ou de teinture mère (nom latin Coriandrum Sativum). Elle mobilise les métaux lourds dans le milieu intracellulaire (de l’intérieur des cellules vers l’extérieur), en ouvrant les canaux ioniques des membranes cellulaires. De plus elle répare les dommages causés à l’ADN par le mercure. Elle agit en profondeur, y compris dans les os et le système nerveux central. Elle mobilise donc beaucoup de métaux lourds. C’est pourquoi elle ne doit être utilisée qu’en deuxième partie de la détoxification, quand la partie circulante des métaux lourds a été nettoyée. C’est à dire quand on a ressenti une bonne amélioration avec uniquement la chlorella et l’ail des ours. Si le nettoyage du « circulant » n’a pas été suffisant (réduction des symptômes), il y a risque de saturation du corps (amplification des symptômes).
A partir d’un mois de cure (après 30 jours) : Monter graduellement la prise par étape de 10 jours si tout se passe bien, sinon réduire la dose :
2 gouttes 2 fois par jour, 15 mn avant repas (ventre vide) dans un peu d’eau ou autre. Soit 4 gouttes par jour. Puis 3 gouttes 2 fois par jour, soit 6 par jour ; 4 gouttes 2 fois par jour, soit 8 par jour,
Puis enfin 5 gouttes 2 fois par jour, soit 10 par jour. Maintenir ce rythme de croisière jusqu’à la fin de la cure.
Si vous vous sentez mal à un seuil, redescendez à la dose d’en dessous. Compter un flacon de 50 ml pour 4 mois. En cas de problème avec l’alcool, on peut prendre des extraits secs.
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L’Acide alpha lipoïque (AAL), a un double effet chélateur et antioxydant. Il est à la fois soluble dans l’eau (hydrosoluble) et dans les graisses (liposoluble), ce qui lui permet de protéger tous les tissus du corps. De plus, il peut traverser la barrière hémato-encéphalique et atteindre ainsi le cerveau. Il régénère la vitamine E, la vitamine C, le glutathion et la coenzyme Q10. Il est particulièrement efficace pour chélater le mercure, le cadmium et l’arsenic. Il permettrait de régénérer les cellules nerveuses et hépatiques. Il est recommandé de se supplémenter en vitamines B, cofacteurs importants pour qu’il soit efficace.
Pendant toute la cure, prendre une gélule de 250 mg 4 fois par jour (ventre vide), obligatoirement réparties sur toute la journée (en 4 prises). Soit 120 gélules par mois.
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Le MSN : méthyle-sulfonyl-méthane, cette base de soufre organique est de plus en plus rare dans l’alimentation du fait de l’appauvrissement des sols en agriculture intensive. Le souffre se lie aux métaux lourds pour les déloger. Indispensable pour un grand nombre de réactions enzymatiques et hormonales. C’est un complément nécessaire pour soutenir le système immunitaire, les articulations, en favorisant le développement des tissus conjonctifs, les cartilages et la production de collagène, améliorant ainsi l’arthrose et l’arthrite. Il s’incorpore à la kératine des cheveux et des ongles, les renforçant, les rendant plus brillants. C’est aussi un élément améliorant la fatigue chronique. Toutefois, ses propriétés sont proches de l’ail des ours. Les personnes souhaitant limiter la prise de produits et n’ayant que des symptômes légers, peuvent s’en passer et se contenter de l’extrait d’ail des ours.
10 jours après le début de la cure, prendre 1 cuillère à café 2 fois par jour, soit 2 grammes au total où l’équivalent en gélules. Ce produit se trouve facilement en poudre ou en gélules en magasin bio et sur internet.
Régime hypotoxique du docteur Seignalet
Les aliments interdits :
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le blé, l’avoine, le seigle, l’orge, le maïs et les produits où ils sont utilisés (pain, gâteaux, brioches,biscuits,biscottes, pâtes…);
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les laits animaux : laits, yaourts, fromages, beurres, crèmes, glaces…;
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tout aliment cuit à plus de 110°C (en particulier cuisson au four, à la poêle, fritures, au micro-ondes, à la cocotte minute) ;
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les confitures (qui sont cuites) ;
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les huiles raffinées ou matières grasses cuites ;
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la bière (obtenue à partir de céréales) ;
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les conserves, plats préparés
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le chocolat au lait ;
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le sucre blanc et le sel blanc raffinés ;
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La charcuterie cuite.
Les aliments autorisés :
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riz, sarrasin, sésame et leurs dérivés (pains et gâteaux à la farine de riz ou de sarrasin cuits à basse température…)
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soja et ses dérivés (lait de soja, yaourts de soja, crème de soja, tofu..) ;
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laits végétaux : lait d’amandes, lait de riz..
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légumes secs : lentilles, pois, pois chiches, haricots..;
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légumes verts : haricots verts, épinards, courgettes, brocolis…
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oléagineux crus : amandes, noix, noisettes, noix de cajou, du brésil ;
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les viandes crues ou peu cuites (blanches de préférence), les poissons et
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coquillages, crevettes, oeufs…;
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les charcuteries crues avec modération (saucisson, jambon cru, salami…) ;
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les fruits (frais ou secs) ;
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les crudités ;
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le sucre complet, le miel ;
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les huiles obtenues par première pression à froid ;
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les condiments ;
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eau, café, thé, chicorée, vins et alcools distillés (modérément) ;
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les aliments cuits à moins de 110°C (cuisson à la vapeur, à l’eau, à l’étouffée, le pochage ou braisage doux)
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le chocolat noir (modérément) ;*
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le sel non raffiné
CANDIDOSE
La règle de base est : PAS de sucre, pas de ferments, pas de levures, pendant la durée d’exclusion définie avec le thérapeute.
A Éviter Totalement :
Le SUCRE et tous les produits contenant du sucre. C’est la correction la plus importante à faire en tout premier car le sucre est l’aliment de base du candida.
A noter qu’il n’y a pas de bons sucres. Aussi, il est préférable de ne pas remplacer le sucre pas des édulcorants afin de perdre progressivement l’envie de consommer des produits sucrés.
FRUITS : La plupart des fruits sont riches en SUCRE et doivent être évités. Eviter tous les agrumes riches en acide citriques (sauf le citron), raisins, melon… préférer les pommes, cerises, myrtilles… en quantité raisonnable…
LEVURE et ferments : Eviter tous les aliments contenant de la levure, des moisissures, ou des ferments, comme le pain, les pizzas, gâteaux et pâtisseries, tous les fromages , toutes les boissons fermentées (bière, cidre…), la sauce soja, le tamari, tofu, certains yoghourts, etc…
LAIT animal et produits laitiers : fromage, crème, beurre, yoghourt sucré ou au fruits, lait, lactose, pâtisseries, gâteaux, produits en boîtes et pré préparés sont à éviter.
Les CÉRÉALES : Eliminer toutes les céréales riches en gluten Blé, Seigle, Epeautre, Orge… assimilé aux céréales, le maïs est à proscrire, il contient beaucoup de sucre…
On peut remplacer le pain par du pain azym, wasa… il est surtout préférable de manger du riz, du sarrasin, du quinoa, millet.
ALCOOL, DROGUES, tous les produits pharmaceutiques, stimulants, médicaments, calmants, euphorisants, somnifères… il faut s’interdire tous ces produits chimiques « de confort »… ( sauf cas de nécessité absolue). Eliminer tous les alcools…
CERTAINS LÉGUMES acidifiants ou trop sucrés doivent être évités : carottes, maïs, asperges, oseille, rhubarbe, choux de Bruxelles.
Les BOISSONS sucrées, pétillantes, y compris l’eau gazeuse, les jus de fruits, TOUTES les boissons « préparées » comme le « thé glacé » et tous les sodas… Eviter thé noir et café, préférer certaines infusions et le thé vert léger.
Quelques aliments interdits :
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Sucre de canne (blanc ou roux)
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Sucre de betterave
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Cassonade
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Miel
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Sirop d’érable
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Sucreries, friandises
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Mélasse
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Toutes les confitures et gelées
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Crèmes glacées
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Boissons sucrées (sodas, colas …)
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Farines raffinées (baguette, miche, biscottes…)
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Gâteaux à la farine blanche et au sucre
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Pizzas
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Brioches, croissants, biscuits
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Quiches, feuilletés, vol au vent
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Pâtes (spaghettis, raviolis …)
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Riz blanc raffiné
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Fécule de pommes de terre
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Carotte
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Maïs
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Fécule de maïs
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Semoule, couscous
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Amidon
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Céréales raffinées, flocons
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Riz soufflé
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Chocolat avec moins de 60% de cacao
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Chocolat au lait
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Friandises à base de chocolat, de lait, de miel
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Quelques aliments acceptés :
Que manger au petit déjeuner quand on suit ce régime ?
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Jus de légumes (pas de fruits) faits maison et bus dès l’extraction car ils s’oxydent très rapidement.
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Un œuf, des céréales ou du müesli sans sucre au lait de soja ou au lait de riz, d’amandes ,de sarrasin ou de coco.
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Yaourts végétaux (naturels – non sucrés).
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Avocat, blanc de poulet..(petit déjeuner salé)
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Amandes, noix, noisettes etc….
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Pain des fleurs (cracottes) ou pain de sarrasin avec de la purée d'oléagineux sans sucre ou de la margarine Bio (St Hubert ou vita coco)
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Pas de fruits frais, ni secs, ni jus de fruits car ils contiennent du sucre et entretiennent la prolifération des candidas.
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Pour les compléments anti-fongiques, à définir en consultation selon les symptômes.