Electro sensibilité
Téléphone portable, wifi, babyphone, antennes, électricité…
Autant d’appareils familiers qui nous rendent bien service au quotidien et auxquels on ne prête guère attention.
Et pour cause, les ondes sont invisibles, inodores et inaudibles.
Mais sont-elles sans impact sur notre organisme ?
Le calvaire subi (électrosensibilité) par des personnes devenues électrosensibles nous prouve le contraire et nous offre l’occasion de plonger dans les connaissances scientifiques existantes sur ces facteurs physiques qui génèrent une litanie de réactions et de souffrances. Un bruit silencieux en quelque sorte…
Des témoignages de ces symptômes, il en émerge de partout dans le monde et depuis de nombreuses années, des médecins et des scientifiques lancent des alertes sur l’augmentation des cas d’hypersensibilité électromagnétique en relation avec l’accroissement sans précédent des durées d’exposition aux technologies sans fil et de leur précocité. Sans grande réaction des autorités sanitaires et des pouvoirs publics.
Il faut bien admettre que, dans ce dossier sensible, aux enjeux industriels et militaires énormes, l’émergence du doute et de la confusion est le grand prétexte pour éclipser la reconnaissance d’une telle évidence qui était difficile à évaluer il y a quelques décennies.
Peut-on souffrir à cause des ondes électromagnétiques ? Pour la première fois, en France la justice a dit oui. Elle a reconnu l’existence d’un handicap grave dû à l’hypersensibilité aux ondes électromagnétiques. Une information révélée par l’association Robin des toits qui milite pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil.
Un syndrome controversé :
L’électrosensibilité n’est pas reconnue officiellement comme maladie en France et fait l’objet de controverses entre experts, malades et associations écologistes. Dès 2005, l’Organisation mondiale de la santé a reconnu l’existence de symptômes potentiellement graves, pouvant varier d’un individu à l’autre, mais elle estimait qu’il n’existait ni critère clair pour un diagnostic ni base scientifique permettant de faire un lien avec les ondes.
Et pourtant de plus en plus de victimes évoquent des maux multiples : cervicalgie, maux de tête, picotements, irritabilité permanente, problèmes de concentration, vertiges, troubles du sommeil, sensation d’oppression, troubles du rythme cardiaque, toubles neurodégénératifs, dépressions. Pour l’Académie de médecine, il pourrait s’agir de « phobies ». Selon le professeur de neurologie Yves Agid, « l’existence de ce syndrome n’est pas démontrée ».
On parle de l’« électrosmog », le brouillard électromagnétique dans lequel humains, animaux et plantes sont actuellement obligés de vivre, comme l’effet photonique des matières que nous portons.
Il existe un champ électrique naturel à la surface de la terre créé par les charges électriques présentes dans la ionosphère (couche de l’atmosphère constituée de particules chargées).
Il s’ensuit une constante électrisation de nos organismes due à une accumulation de charges électriques responsable de symptômes divers et variés.
Par ailleurs, toutes les fonctions de notre corps sont commandées par de petites impulsions électriques à basse fréquence. Enfin, nous sommes constitués à 70% d’eau et par là même nous nous comportons comme un formidable conducteur électrique.
La fréquence de l’électrosensibilité serait de 2 à 5% de la population. Mais la réalité est plus près de 20 à 40% dès lors que le monde médical et universitaire n’effectue aucune statistique.
Rayonnement électromagnétique :
Les rayonnements électromagnétiques (REM) sont une forme de transport de l’énergie sans support matériel. Pour le caractériser, on se réfère en général à sa fréquence, à son énergie ou à sa longueur d’onde dans le vide.
Très divers par l’énergie qu’ils transportent et par leurs possibilités d’interaction avec les structures biologiques, les REM se distinguent par deux modèles complémentaires, soit comme des ondes électromagnétiques (modèle ondulatoire), soit comme un flux de photons (modèle corpusculaire).
L’atome, le point de départ :
Il est grand temps de changer de paradigne : le corps n’est pas que biochimie et chimie. L’onde commande la particule, et par voie de conséquence la chimie.
Les atomes sont constitués d’un noyau composé de particules positives : le proton et de particules neutres : les neutrons.
Autour du noyau gravitent des particules chargées négativement : les électrons. Dans un atome il y a autant de protons que d’électrons, aussi l’atome est il neutre. Les niveaux d’énergie des électrons sont discontinus.
Si un électron sous l’effet d’un rayonnement (ultra violet, X, et gamma) quitte des niveaux d’énergie supérieurs, l’atome qui perd une charge négative, perd sa neutralité électronique, ainsi parle t-on de ionisation. Un tel rayonnement est appelé « rayonnement ionisant ».
Au contraire lorsque la longueur d’onde associée à une onde électromagnétique s’accroît, cette dernière présente une dimension ondulatoire et son énergie est beaucoup plus faible que celle des rayonnements ionisants. De telles ondes sont appelées « rayonnements non ionisants ».
C’est le cas des micro-ondes, des radios fréquence, et des champs électromagnétiques de 50 et 60 Hertz.
Les ondes cosmo-telluriques :
Notre environnement vibratoire résulte de la combinaison des ondes cosmiques et des ondes d’origine tellurique. Cette synergie forme un champ électromagnétique favorable à la vie cellulaire.
La cellule est stimulée par les forces cosmo-telluriques mais réagit à tout déséquilibre de l’ambiance vibratoire. Une perturbation du champ tellurique ou géomagnétique par une faille, une veine d’eau souterraine ou toute autre anomalie géologique, modifie la réflexion du champ cosmique et entraine une rupture de l’équilibre cosmo-tellurique.
Notre protection commence dans la chambre à coucher.
Toutes les personnes atteintes d’électro-hypersensibilité dormaient sur une zone très fortement perturbée par des rayonnements telluriques et étaient soumises à un champ électromagnétique conséquent au niveau du lit.
On peut en déduire le schéma suivant : les défenses immunitaires ont été affaiblies par une exposition prolongée durant le sommeil, sur une zone géopathogène, agravée par la prolifération des hyperfréquences (Wi-Fi, téléphonie mobile, …) ce contexte a été le facteur déclencheur ou révélateur de cette sensibilité extrême.
La géobiologie est une discipline récente qui permet d’appréhender l’influence du lieu de vie sur l’équilibre biologique humain, animal et végétal.
Cette discipline est à considérer comme un complément au bioélectromagnétisme et à l’électro-physiologie afin de prouver les rapports de cause à effet pour que cette pathologie polyfactorielle soit mieux connue.
Placer le lit au bon endroit a une incidence sur la qualité du sommeil, donc sur la santé physique et mentale du dormeur. Certains troubles disparaissent, les douleurs diminuent.., d’où une réduction de la consommation de médicaments antalgiques, anti-inflammatoires, somnifères, anxiolytiques…
La nature et les animaux ne sont pas épargnés :
Pour prendre conscience des effets des radiations telluriques sur le vivant il suffit d’observer la nature. Qui n’a pas été interpellé par la mauvaise croissance de certains végétaux, le développement anarchique d’un arbre ou la présence d’excroissances qui sont en fait des tumeurs cancéreuses !
Les végétaux souffrent des rayonnements pathogènes provenant de leur lieu d’implantation, lieu qu’ils cherchent à fuir, d’où la présence d’un arbre penché, voire couché au milieu d’autres spécimens bien droits.
Quel vétérinaire n’a pas été intrigué par la répétition d’accidents ou de pathologies dans certaines étables ? Quel médecin n’a pas été confronté à un patient résistant à toute thérapie ? Bien des parents sont désemparés, face à leur enfant agité qui ne passe pas une nuit sans crier, faire des cauchemars, fuir son lit pour se réfugier ailleurs…
Pourquoi sommes-nous sensibles aux variations du champ magnétique terrestre ?
Afin de mieux appréhender qualitativement les effets des micro-ondes sur certains types de cellules il nous faut redéfinir les éléments de base de la membrane cellulaire.
Les membranes biologiques constituent des frontières permettant de séparer mais aussi de mettre en communication différents compartiments au sein de la cellule. Les membranes sont principalement constituées de lipides et de protéines. Les lipides constituant l’organisation de base des membranes sont des phospholipides auxquels sont associés dans la membrane plasmique le cholestérol qui rigidifie l’ensemble.
La fluidité membranaire est une nécessité pour la cellule, elle est la base de l’équilibre cellulaire, ce qui lui permet d’assurer tous les phénomènes incessants d’échanges avec son environnement. Penser, agir, et tout simplement vivre, ne sont possibles que parce que les cellules communiquent entre elles.
Les fortes intensités de champs électriques et leurs continuels balancements, provoquent de cette manière des vibrations locales d’éléments isolés, constitutifs de la membrane, qui oscillent comme des dipôles électriques.
Si les micro-ondes entrent en résonance avec la membrane, la fluidité membranaire sera fortement perturbée ce qui entraînera un dysfonctionnement des échanges transmembranaires, avec une pathologie éventuelle à la clé, en fonction de la fréquence du phénomène.
Le phénomène de résonance exacerbe l’effet délétère des micro-ondes sur les membranes.
Impact de l’axe hypothalamo-neurologique :
Pour Pierre Le Ruz, nous sommes tous électrosensibles : « Nous possédons dans notre organisme des nanocristaux de magnétite entourée d’une double membrane biologique qui, au contact d’un champ électrique, magnétique ou électromagnétique, oscillent et envoient des signaux à l’hypothalamus qui se répercutent sur l’ensemble des neurones. Quand cet axe neurologique interprète l’information comme une agression et que l’organisme ne parvient pas à neutraliser l’alarme biologique, c’est ainsi qu’on souffre d’électrosensibilité. »
Les neurones, sont des cellules nerveuses qui assurent l’excitabilité, la conductivité et la communicabilité. Cette dernière utilise des substances chimiques appelées neuromédiateurs. La libération de ces substances est précédée de l’entrée d’un courant de calcium dans la partie terminale du neurone.
Les micro-ondes perturbant les courants ioniques de calcium, ils engendrent un déséquilibre entre les neuromédiateurs excitateurs et les neuromédiateurs inhibiteurs, à l’origine de troubles du comportement fatigabilité, céphalées, troubles de l’humeur et du sommeil.
Deux atteintes neurologiques, entre autres….
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La mélatonine
Une étude sur des embryons de poulets montre que les rayonnements artificiels font chuter la production de mélatonine. Or, cette hormone a des propriétés anti- radicalaires, anti-tumorales et est essentielle à la régulation du sommeil.
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L’hippocampe
Une étude pilote réalisée sur des souris montre que le rayonnement du téléphone portable ferait baisser de 25% la création de nouveaux neurones dans l’hippocampe. Or, cette zone du cerveau est impliquée dans les mécanismes de mémorisation à court terme et l’apprentissage. Le ralentissement du renouvellement des neurones pourrait entraîner des troubles de ces fonctions.
La perméabilité de la barrière hémato-encéphalique peut être occasionnée par une seule exposition de 2 h aux radiations d’un téléphone portable et conduire à des lésions neuronales :
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Élévation du risque de cancer du cerveau (gliomes, neurinomes)
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Facteur de risque dans la maladie d’Alzheimer et autres maladies neuro-dégénératives
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Désynchronisation neuronale des fonctions vitales (dans le cerveau, le cœur, les intestins…) et des rythmes circadiens qui gouvernent le sommeil et les cycles hormonaux
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Dysfonctionnement des processus biologiques
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Des dommages sur le sperme humain sont produits à des niveaux d’intensité très faibles (ex : téléphone à la ceinture ou ordinateur sans fil sur les genoux) Risques sérieux sur la fertilité des personnes exposées
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L’exposition aux RF du fœtus, du nouveau-né, de l’enfant peut être à l’origine de troubles du comportement, problèmes d’apprentissage…
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Cancers de l’enfant — leucémie…
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Les cristaux de magnétite (Fe3O4)
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On a identifié la présence de ces cristaux fortement magnétiques sous forme de particules microscopiques, dans plusieurs espèces (bactéries, abeilles, vertébrés supérieurs). Le cerveau de l’homme en contiendrait plusieurs milliards. Ces cristaux de magnétite appelés « magnétosomes » se comportent comme des aimants. Sous l’effet des micro-ondes ces aimants se mettent en vibration et engendrent un foyer irritatif qui, à long terme, est susceptible d’induire des perturbations physiologiques neuronales plus ou moins graves.
Toutes les régions du cerveau contiennent de la magnétite. La présence de ce métal sensible aux champs magnétiques réagit plus d’un million de fois plus fortement à un champ magnétique que tout autre matériau biologique, y compris le fer des globules rouges.
Selon J. Kirschvink, les baleines s’orientent en fonction des champs magnétiques des fonds marins et s’échouent le plus souvent sur des plages situées près d’anomalies géomagnétiques. On savait que la magnétite présente chez les oiseaux et les abeilles par exemple, leur permet de s’orienter par rapport au champ magnétique terrestre. Le sens de l’orientation de certains oiseaux migrateurs est perturbé par des anomalies géomagnétiques et/ou par les hyperfréquences générées par les technologies modernes. La survie d’espèces migratrices pourrait donc être compromise.
Omniprésence des métaux lourds :
Les électrosensibles eux-mêmes pensent souvent qu’une des causes de leurs pathologies provient de la présence de métaux lourds dans leur organisme qui endommage notamment les systèmes nerveux et immunitaire.
Un amalgame dentaire contient environ 50 % de mercure métallique. La poudre d’alliage est constituée, dans des proportions variables, d’argent, de sélénium, de cuivre et, dans des proportions plus faibles, d’autres métaux comme le zinc…
Scientifiquement on a constaté que tous les organismes des occidentaux étaient imprégnés de métaux lourds. Tous les poissons, légumes, fruits en contiennent. Avec l’appareil oligoscan, on peut le vérifier (Voir mon livre : « Les dégâts des métaux lourds ». Ed Trédaniel).
Les objets métalliques captent préférentiellement ces ondes comme les plombages dentaires, les prothèses métalliques (hanches, genoux), les armatures des soutiens-gorges et des gaines, les stérilets (cuivre), les lunettes, les verres, les montures (maillechaort, bronze), les miroirs (aluminium) et même les cosmétiques.
On peut donc légitimement estimer que des millions d’ions métalliques, aux propriétés électrochimiques connus et répartis dans l’ensemble des tissus corporels, modifient la conductivité du corps et sont susceptibles d’être mis en mouvement, « entraînés » par des champs électromagnétiques pulsés, provoquant des phénomènes inflammatoires.
C’est ainsi, que selon le docteur G. Dreuzaide, chirurgien dentiste l’appelation de fibromyalgie devrait être remplacée par « électromyalgie » dès lors que toutes les observations convergent vers l’électrosensibilité et qu’il suffit dans certains cas de retirer tout plombage au mercure et de chélater l’organisme pollué pour que les symptômes disparaissent.
Pour le professeur Belpomme, l’éthylmercure libéré, par les amalgames pénétrerait dans la gaine de Schwann du nerf olfactif, à partir de ses terminaisons nasales, et passerait dans le bulbe olfactif pour gagner le rhinencéphale, là où siège le système limbique. Cela favoriserait l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique avec toutes ses conséquences délétères.
Savoir identifier une électro hypersensibilité L’approche scientifique :
Cette méthode, rigoureuse et outillée, a été suivie par l’ARTAC, l’Association Recherche Thérapeutique Anticancéreuse présidée par le professeur d’oncologie Dominique Belpomme, un pionnier en France de la médecine environnementale, pour étudier les personnes malades des ondes.
« Contrairement à ce que certains médecins ou scientifiques, en étroite relation avec les opérateurs téléphoniques, affirment sans preuve, il ne s’agit pas de simulateurs ou de malades psychiatriques », rappelle ainsi l’ARTAC.
Depuis 2007 en effet, cette association a trouvé différentes anomalies dans les analyses sanguines et les scanners cérébraux effectuées sur les personnes intolérantes aux ondes. L’ARTAC a ainsi fait la constatation suivante de marqueurs biologiques perturbés.
Dans l’analyse sanguine on note un taux de :
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vitamine D diminuée (70%)
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histamine augmentée (inflammation)
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anticorps anti-o-myeline augmentées (stress cellulaire)
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mélatonine diminuée dans l’analyse urinaire
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substance P (assure la transmission des impulsions douloureuses)
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déficience des neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, noradrénaline)
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Imagerie médicale :
L’encéphalo-scanner est un scanner de doppler pulsé, intracérébral, qui permet d’étudier la vascularisation du cerveau. On a démontré que les patients souffrants d’hypersensibilité aux champs électromagnétiques présentent une hyperviscosité du sang, laquelle entraîne un trouble de la perfusion du parenchyme cérébral, et par conséquent une diminution de l’oxygénation du cerveau.
L’observation expérimentale :
La pratique du «test musculaire» est simple à réaliser et permet d’évaluer l’impact de divers stimuli sur l’organisme, par exemple la nourriture, les sons, les couleurs, ou tout autre élément de notre environnement que ces matières soient métalliques ou non métalliques.
Il peut s’agir de bijoux, de prothèses dentaires, de reconstitutions dentaires, de vêtements, d’étiquettes de vêtements, de verres de lunettes, de pierres, de cosmétiques, de lunettes, de stérilet. La quantité importe peu, une incompatibilité de la taille d’un grain de sable suffit à entraîner ou modifier des tensions musculaires.
Ce test est «emprunté» à la kinésiologie.
Les mesures de protection contre l’électrosensibilité :
Que faut-il penser des pastilles à coller sur le portable ?
«Attrape-gogos» pour certains, qu’en est-il vraiment ?
Devant les craintes des effets du téléphone portable sur la santé, des systèmes qui neutralisent ou transforment les ondes foisonnent sur le marché.
Les patchs ou pastilles à coller sur le téléphone auraient la propriété de rendre les ondes biocompatibles en inversant la polarité de la radiation micro-ondes.
Mais il manque capteur et un émetteur dans le champ pour produire un champ en sens inverse.
La seule protection efficace, est l’utilisation d’une oreillette stéthoscopique (tube d’air) qui réduit de 99% les rayonnements. Les nouvelles versions donnent une très bonne qualité de son. L’oreillette ordinaire amène directement, par le câble, les micro-ondes dans le conduit auditif.
Dans une maison, il y a une multitude de champs électriques moins puissants, très atténués grâce au fil de masse (troisième fil jaune et vert).
L’électricité et le courant domestique s’accompagnent d’une pollution basse fréquence (50 Hz), dont les méfaits on été abondamment documentés.
Quiconque a connu la sensation de brûlure intense en recevant une décharge électrique peut en témoigner !
Il faut ensuite s’assurer que les valeurs de prise de terre soient suffisantes.
Dans les maisons individuelles, il est fortement recommandé d’avoir une prise de terre au nord et avec une résistivité inférieure à 70 ohms pour un tableau électrique avec un différentiel de 300 milliampères.
En clair, plus l’impédance (la valeur en ohms) de la prise de terre est faible, plus celle-ci est de qualité.
Il ne se passe pas un jour sans qu’apparaisse un nouveau système anti-ondes censé protéger toute l’habitation. Étant multifonction, il serait efficace contre les rayonnements électromagnétiques basses fréquences et les hyperfréquences émanant de la téléphonie mobile, antennes relais, Wi-Fi.., et protègerait également des perturbations cosmo-telluriques. Citons «oscillateur magnétique de compensation» produisant des signaux magnétiques pour compenser les rayonnements polluants ? L’appareil universel en somme !
Pour matérialiser la présence d’une pollution électromagnétique (hautes fréquences) dans votre habitation, achetez un appareil de mesure (tel le TES 93).
Après extinction des appareils, vérifiez la présence des niveaux supérieurs à 3V/m qui génère une pollution insidieuse au détriment de la santé des gens et peut avoir des conséquences au niveau du cerveau par la pénétration de la barrière hémato-encyphalique.
Traitements naturels contre les ondes électromagnétiques :
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Le Cereus peruvianus monstruosus
Ce cactus d’Amérique centrale est réputé réduire la nocivité des ondes du fait de sa forme à cinq ou six côtés.
Les personnes travaillant sur des écrans d’ordinateurs et souffrant de maux de tête et d’une grande fatigue retrouvent leur équilibre physique et psychique grâce à cette cactée.
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La Crassula avata
Une autre plante grasse aussi nommée « Arbre de Jade », neutralise les ondes nocives.
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La lavande
Son grand avantage est qu’on peut l’utiliser sous forme d’huile essentielle (lavande officinale et/ ou lavande vraie)
L’huile essentielle de lavande, utilisée avec un diffuseur, en plus d’embaumer notre maison, amènera une protection sensible à toutes les personnes électrosensibles. Une goutte discrète sur l’oreiller favorisera un meilleur sommeil.
Sur le téléphone portable mettre un petit ruban très fin sur lequel on verse une demi goutte. Son effet est comparable à celui des meilleurs systèmes du commerce pour « patcher » son téléphone portable. Un simple flacon ouvert et posé à proximité de l’ordinateur ou d’un téléviseur va équilibrer l’environnement électromagnétique et induire immédiatement un relâchement des tensions chez le sujet en souffrance. On peut renforcer cette action en faisant respirer plusieurs fois dans la journée le flacon ouvert durant deux à trois minutes.
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La Chlorophylle
Avec l’aide de la puissante énergie venant du soleil, les plantes chlorophylliennes font cette transmutation qui produit les nutriments indispensables à notre santé. Pour domestiquer la puissance destructrice des photons, ces plantes ont mis en place une chaîne de transporteurs et de protecteurs correspondant à différents niveaux d’énergie.
Quantaphylle : 2 gélules le soir (Labo Phytoquant)
Pour les téléphones portables, la feuille de mica programmée s’avère intéressante car elle transforme complètement la nuisance énergétique :
http://shungite.fr/Feuille-de-mica-programmee-pour-telephone-portable ainsi que la housse préventive Silvershield .
Pour neutraliser les téléphones sans fil (DECT), les bornes wifi, les ordinateurs portables ou de bureau, les compteurs électriques, et toute autre source de nuisance similaire, deux pierres se distinguent par leurs propriétés : la tourmaline et la shungite :
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On prête à la shungite de remarquables vertus. La plus prépondérante serait de nous protéger de l’impact nocif des ondes électromagnétiques. Globalement, elle améliore, protège, neutralise et régénère.
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La tourmaline est utilisée dans l’industrie pour ses effets photo électriques et électrostatiques, dus à la présence dans sa structure de charges négatives et positives parfaitement alignées. Son champ magnétique statique naturel attire la poussière de l’air.
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Encore plus efficaces mais plus coûteux :
Site : https://www.geotellurique.fr/ (protections diverses et très intéressantes, (coques, tissus, appareils, vêtements protecteurs…), plus performantes que les plantes ou les pierres ainsi que le site http://geobioenergies.com
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Appareils de protection rayonex (site rayonex ) et bol d’air jacquier ainsi que les Filtres écran de chez Canopia.
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Tissus anti-ondes chez wiss shield.
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Et pour se protéger des nouveaux compteurs de type Linky : L’absoplug Alpha :
Et pensez à atteindre le wifi chez vous (bouton sur votre box ), au moins la nuit !!!